Publié dans Société

Affaire « La Balançoire » - Fermeture supposée pour une affaire de drogue

Publié le dimanche, 21 septembre 2025

La boîte de nuit « La Balançoire », située à Morarano-Alarobia, se retrouve au cœur d’une nouvelle polémique. Ses deux gérants français, Ardile Roland François (36 ans) et El Quardi Llias (34 ans), ont été placés sous mandat de dépôt à Tsiafahy fin août dernier pour tentative de meurtre, coups et blessures, entre autres chefs d’accusation.

Un nouveau rebondissement lié à cette affaire a éclaté le week-end dernier : plusieurs publications sur les réseaux sociaux ont annoncé la fermeture de l’établissement par les Forces de l’ordre, évoquant la découverte et la circulation présumée de stupéfiants dans les lieux. Une information qui reste cependant à confirmer.

 

La confusion demeure sur l’identité des autorités compétentes. La Gendarmerie nie toute implication dans l’enquête, tandis que la Brigade des stupéfiants d’Anosy est citée, mais une source policière dément également cette information et renvoie la responsabilité à la Gendarmerie.

D’autres rumeurs font état de la suspension simultanée de plusieurs établissements appartenant à la même enseigne que « La Balançoire », mais aucune confirmation officielle n’a été apportée jusqu’ici. De plus, une source proche du dossier affirme que les deux Français incarcérés ne seraient pas propriétaires de la boîte de nuit, mais de simples salariés.

En attendant une clarification venant des autorités, aucune date n’a été communiquée concernant la prochaine comparution des prévenus devant le Tribunal. Affaire à suivre !

 

Franck R.

Fil infos

  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord
Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff